Elle est brune, avec les cheveux longs. Un joli visage, assez juvénile fin, légèrement halé. Je ne sais pas (encore) la couleur de ses yeux car ils sont fermés. Je lui ai retirée son blouson et je l ‘ai mise pieds nus immédiatement, dès que je l ‘ai allongée. J ‘aime bien pieds nus. Je lui ai retiré son pull. Elle porte un t-shirt blanc et un Jeans bleu. Je soulève son t-shirt. Elle à un soutien-gorge blanc, classique. Je baisse son Jeans sur ses chevilles. Sa culotte, blanche également, est assortie au haut. Je suis debout devant elle. Je passe mes mains dans son dos et dégraffe son soutien-gorge. Je le fait glisser au dessus de sa poitrine. Elle a deux jolis petits seins. Je passe mes mains sur son ventre, chaud, et je baisse sa culotte au niveau de son Jeans. Elle a des jambes assez longues pour son âge et douces. Son sexe est épilé. Intégralement. Il lui donne une claque. Forte. Brutale. Soudaine. Sur la joue gauche. Elle gémit. Il la refrappe. Elle ne gémit plus.
Il est 20 heures, la décharge a eu lieu. Elle devrait être rentrée depuis 1 heure. Il l ‘a frappé avec la pierre. Le chemin prends 10 minutes. Sur le visage. Reconnaissance sur les lieux, elle n ‘y est pas. Sa bouche est détruite. Je l ‘ai violé. Elle est forcément chez quelqu ‘un de connu en sécurité. Ami-e-s, connaissances, familles, entoutages, écoles…. Non. Hopitaux. Non. Il a détruit son visage avec la pierre. Gendarmerie. Signalement « disparition de mineure ».
Elle est magnifiquent abîmée. Que va-t-il en faire ?
Il va l ‘autopsier, mais elle est encore en vie. Il lui semble logique qu ‘elle soit décedée pour l ‘autopsier. Il doit mettre fin à sa vie. Il le fait. Avec un oreiller sur le visage et une ceinture autour. C ‘est calme, étrange et brutal à la fois. C ‘est étrange cette atmosphère. Elle ne respire plus. Je l ‘ai amené à l ‘extrieur, dans les bois, et je l ‘ai assise contre un arbre. Même la Lune ne veut pas assister au macabre spectacle des poupées mortes. J ‘ai ouvert son abdomen de bas en haut avec un scalpel. Je l ‘ai allongée, J ‘ai recouvert son visage avec un drap noir et j ‘ai passé mes mains sous le drap. Avec le couteau de chasse. La Lune n ‘est plus là et le Soleil ne l ‘attend plus. Les bruits sont beaucoup plus épouvantables que la résistance du cou quand je presse le couteau dessus. Le craquement du tronc cérébral est effroyant, fort, il résonne dans la forêt. Ce sont les bruits qui m ‘effraie le plus. Ni l ‘acte, physique et spirituel, ni les conséquences. Ce sont les bruits qui m ‘effraient à cet instant. Car il sont devenus les seuls. Il n ‘y a plus aucuns sons dans la forêt hormis ceux des os qui craquent, de la peau qui se déchire et du sang qui jaillit. Une rhapsodie maléfique.
Elles a les yeux grands ouverts quand je retire le drap de son visage. Qui me fixent de là où ils sont. Sa tête est séparée de son corps. Il est 20:29, les Ombres sont avec nous…