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Le docteur Ahriman est un psychiatre réputé. Impossible de soupçonner qu’il plonge ses clientes dans des phobies cauchemardesques pour les rendre dociles à ses désirs les plus pervers.
“À présent, suivez-moi et surtout, ne vous éloignez pas. On va faire un bout de chemin ensemble. Les monstres n’existent pas. Il n’y a que l’humain, et c’est bien assez effroyable.”
« Vers la fin je devenais de plus en plus malade, assoiffé de sang, et pourtant ces flots de sang m’emmerdent. Ce n’est pas quelque chose que j’ai envie de voir. Ce que je désire ardemment, par contre, c’est assister à la mort, et savourer le triomphe que j’y associe, mon propre triomphe sur la mort des autres. C’est comme une drogue, qui me pousse à en vouloir toujours plus. Je veux triompher de ma victime. Vaincre la mort. Elles sont mortes et moi, je suis vivant. C’est une victoire personnelle. ».
« Un soir à New York, un jet d’acide en pleine face. Quand j’ai compris que c’était de l’acide, il y a eu une seconde où l’animal en moi a réagi avec une telle violence, un tel cri, qu’à ce moment-là j’ai cru vraiment basculer dans la folie ».
Au cours des vingt-cinq ans passés au FBI, l’agent spécial John Douglas est devenu une légende vivante. Premier profileur de serial-killers, il a suivi et résolu des dizaines de cas, dont le dernier qui lui a presque coûté la vie.
« Voici l’histoire d’un meurtre politique de masse. » C’est par ces mots que Timothy Snyder entame le récit de la catastrophe au cours de laquelle, entre 1933 et 1945, 14 millions de civils, principalement des femmes, des enfants et des vieillards, ont été tués par l’Allemagne nazie et l’Union soviétique stalinienne.
Les règles du grand jeu de l’économie mondiale sont en train de changer. Le capitalisme se meurt, et un nouveau paradigme qui va tout bousculer s’installe : les communaux collaboratifs.
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