Fille d’Hubert

Par Esciença , le 1 novembre 2021 , mis à jour le 23 mai 2023 — Poésie - 1 minute de lecture

Aux souvenirs de ces fleurs morbides,
Qui traînaient, pales dans la nuit,
Avec pour toute substance du vide,

Petite oubliée parmi les hommes
Tous les chemins mènent arôme,
Mais n’aurons jamais le goût
De la fin, du tout au bout,

Apaise-toi fille d’Hubert,
Lénifie tes pensées,
Laisse le vent mauvais,
Souffler sur tes arrières,

Prisonnière de ta bulle
Tu en veux pour ta fin,
Sous les néons sans teints
Dans tes conciliabules,

Apaise-toi fille d’Hubert,
Lénifie tes pensées,
Laisse le vent mauvais,
Souffler sur tes arrières,

Du verre d’orange au rouge
Quand plus rien ne bouge,
Au fond de ces artères
Ta psyché clashe ses verres,

Apaise-toi fille d’Hubert,
Lénifie tes pensées,
Laisse le vent mauvais,
Souffler sur tes arrières,

Aux souvenirs de ces fleurs morbides,
Qui traînaient, pales dans la nuit,
Avec pour toute substance du vide.

FIN


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