Le lendemain à 18:30, je suis caché dans son jardin. Elle est là, allongée sur son canapé, endormie, et je la regarde à travers sa véranda… Ouverte. Ce qui va suivre est complètement dément. Il n’y aucune raisons, bonnes ou mauvaises, à faire ce que j’ai fait. La fameuse maxime « – un fou ne sait pas qu’il est fou ! » Tombe encore dans un torrent de sang. Je suis fou et je le sais parfaitement. Je suis entré dans la maison, l’ai frappé violemment au visage, lui ai fait avaler le GHB-C, puis l’ai amené dehors, dans le jardin . Ce qui a suivi a été apocalyptique. Surtout pour elle. Dans le genre humour très noir, je me dis : « – Tu voulais sortir avec non ? C’est fait ! » Très drôle ! Sic ! Ce n’est pas fait pour être drôle, ni maintenant, ni jamais. Cette fille ne m’a rien fait,. Je la connais, elle ne mérite d’être allongée au sol, dans son jardin, nue, à ma merci, dans cet état. Mais comme elle est inactuelle, ça n’existe pas. Le sang est noir dans le noir.