Les rues sont froidesEt désertent son âme,Où seul le pouvoir de,Glisse comme une lame,
Seuls les maux sont libresÉchappés de leur livre,Son sang est l’équilibreElle veut vivre, Il est ivre,
La vie est une absurditéUn labyrinthe cloîtré,Ce pouvoir qui tueImpossible refus,
Pellicule d’épidermeSa peau est l’expression,Cinq comme le germeIls sont réalisation,
Elle est l’art de la mortL’art triste du passage,Son Corps est mon supportEt son Âme un message,
Parfaite adéquationDe ce qu’est vouloir,Parfaite appréhensionDe ce qu’est pouvoir.
FIN
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