Remocada (Correction)

Par Esciença , le 15 octobre 2022 , mis à jour le 14 juillet 2023 — Horreur - 7 minutes de lecture
Chirurgie esthétique… mais est-il bien chirurgien ?
Cette histoire est fictionnelle.
Contient des passages violents non adaptés aux public sensibles et/ou trop jeunes.

Nancy. Rue Saint Georges. 09h25

Elle avait 16 ans et rêvait de devenir mannequin. Elle aurait pu. Hormis quelques légers défauts, elle était très jolie. Elle avait rendez-vous à 10 heures, au studio photo, rue Saint-Dizier. On lui avait demandé de rester la plus naturelle possible. Une photo ne ment pas, elle fait ressortir autant vos atouts que vos défauts physiques.

Grande, brune aux cheveux longs, mince mais sans excès, elle portait un débardeur vert foncé qui laissait apparaître la naissance de sa poitrine, généreuse, ainsi qu’un Jeans noir et des chaussures noires plates. Elle portait également un pendentif en forme d‘étoile autour du cou d’un goût un peu douteux. Elle avait un joli visage ovale, mais avec quelques défauts que j’allais devoir corriger.

Une peau laiteuse, des yeux brun-verts, un nez assez massif, un menton plutôt haut au-dessous d’une bouche assez large. Elle avait des cernes assez marqués sous les yeux. L’ensemble était assez joli quoique manquant un peu de proportions.

Nancy. Cour des arts. 9h55.

Il ne m’a pas été difficile de la kidnapper. J’avais trouvé le bon dosage pour le chloroforme et j’avais parfaitement repéré l’endroit et calculer son probable itinéraire pour arriver au studio. Et elle a pris exactement celui-là. Elle est descendue du tram à l’arrêt Point Central, rue Saint-Georges, puis elle s’est engouffrée dans l’ensemble des bâtiments commerciaux. Je l’attendais dans un renfoncement près de la banque LCL. Tout s’est déroulé exactement comme je l’avais prévu.

Elle est passée devant moi. Je me suis approché d’elle par-derrière et j’ai posé la compresse de chloroforme sur sa bouche en la tenant par la taille avec ma main libre. Elle s’est tendue quelques instants puis est tombée dans les vapes. Je l’ai allongée sur le sol, lui ai fait avaler mon cocktail magique, puis je l’ai bâillonnée et j’ai lié ses pieds et ses mains. Le paquet était prêt. Je l’ai portée dans la caisse déjà posée sur le chariot, puis je me suis rendu tranquillement à mon camion, où j’ai pu l’y charger sans encombres. J’ai pris la route vers la forêt domaniale de Haye, pour l’amener dans la maison abandonnée que j’avais aménagée spécialement pour l’opération.

Forêt domaniale de Haye. 10h25.

Je suis arrivé dans la forêt 30 minutes plus tard. J’ai déchargé la caisse, puis je suis entré avec dans la maison. Je l’en ai sortie et je l’ai allongé au sol sur une couverture noire. La porte et les volets étaient fermés. Seule une ombre dessinait les contours de son corps. Je lui ai retiré ses chaussures et chaussettes. J’allai pouvoir commencer à corriger ses défauts, dont le principal : sa vie.

J’ai relevé son débardeur au-dessus de sa poitrine et fait glisser son Jeans sur ses chevilles. Elle portait, en dessous, un ensemble en tissu mauve. J’ai dégrafé son soutien-gorge par-derrière, puis l’ai relevé. Elle avait de jolis seins, fermes et arrondis. Elle était semi-consciente et gémissait légèrement, mais le cocktail ne lui permettait pas de résister. J’ai ensuite descendu sa culotte au niveau de son Jeans. Son sexe n’était pas rasé. Un petit triangle de poils bruns recouvrait ses lèvres gonflées. Voir son sexe fut le déclencheur.

Je me suis mis à genoux d’elle, au niveau de ses genoux. Je lui ai donné une claque sur la joue gauche, mais sans n’y mettre toute ma force. Je ne voulais pas abîmer excessivement son visage avant la correction. J’ai caressé ses seins, puis son sexe. J’ai introduit deux doigts dans son vagin. Elle était vierge. Elle a eu un léger sursaut quand j’ai percé son hymen. Il y a eu une légère coulée de sang, absorbé par la couverture, qui me semblait noir dans l’ombre de la maison. Je l’ai violée sans brutalités.

J’ai ensuite ouvert ma mallette, qui était posé à côté d’elle, et j’en ai sorti un marqueur noir. J’en ai retiré le capuchon, puis j’ai tracé des traits noirs aux endroits où j’allais devoir corriger les défauts. J’ai commencé par son visage : deux traits noirs sur ces cernes, puis deux autres dans le creux de ses narines, et un dernier entourant la pointe de son menton. Je suis ensuite passé au pendentif, traçant un trait tout autour de son cou en suivant la chaîne. J’ai ensuite dessiné un dernier trait noir, partant du dessous de son nombril, descendant au-dessus de son sexe, puis en suivant le triangle de ses poils pubiens. J’ai refermé le marqueur, l’ai rangé dans la mallette.

Quelque part dans ma folie. 10h55.

J’ai préparé les scalpels, que j’ai posés les uns à côté des autres devant la mallette : un à lame convexe avec une lame de cinq centimètres pour son visage, un à lame concave avec une lame de huit centimètres pour son cou, un à lame convexe de 10 centimètres pour son abdomen et son sexe. J’allai pouvoir commencer la correction des défauts. J’ai enfilé une paire de gants chirurgicaux, me suis remis à genoux dessus d’elle, puis j’ai commencé l’opération.

J’ai pris le premier scalpel dans ma main gauche, ai posé ma main droite sur son front pour maintenir sa tête, puis l’ai fait glisser sur sa cerne droite de gauche à droite. J’ai répété la même chose pour la cerne gauche. Deux flots de sang coulait sur ses joues en suivant le chemin de ses pommettes. Puis j’ai découpé ses narines en suivant le même schéma : d’abord la droite, de haut en bas, puis la gauche. J’ai poussé les deux petits morceaux sur le côté de son visage. J’ai ensuite découpé la pointe de son menton, dont j’ai également repoussé le petit morceau avec le scalpel sur le côté gauche de son visage. J’ai reposé le scalpel.

Je suis ensuite passé à son cou. J’ai pris le deuxième scalpel dans ma main droite, puis j’ai suivi le dessin du trait de la chaîne de son pendentif. J’ai fait tout le tour en soulevant sa tête. Il y avait beaucoup de sang. Elle respirait bruyamment, cherchant l’air. J’avais suffisamment appuyé pour déchirer sa trachée, mais raisonnablement pour que l’air passe encore légèrement. Sa poitrine était couverte de sang, tout autant que son visage. En coupant par derrière, j’avais coupé le haut de sa moelle épinière. Elle était désormais totalement paralysée. J’ai reposé le scalpel.

J’ai attaqué la dernière partie, son abdomen et son sexe. J’ai pris le troisième scalpel dans ma main droite, suis descendu, toujours à genoux au niveau du bas de ses jambes. J’ai posé le scalpel au début du trait noir, sous son nombril. J’ai enfoncé la lame d’environ dix centimètres, puis ai suivi le trait. Son abdomen s’est ouvert quand je suis arrivé au dessus de son sexe. J’ai continué à suivre le dessin du trait autour de ses poils pubiens. Son sexe ne tenait plus que par l’urètre. Je l’ai sectionné. J’ai posé son sexe à coté d’elle sur la couverture. Elle mourut assez rapidement, probablement des différentes hémorragies. J’avais parfaitement corrigé tous ses défauts, y compris le principal : sa vie.

FIN


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